Sujet: welcome to the new age, where's my deamons are. + jules. Mar 18 Juin - 16:28
APPARTENANCE + PSEUDONYME › elle est l'unique descendante de la famille hastings, famille déchue de son piédestal, il y a de ça deux générations, si aujourd'hui être une hastings est un sujet tabou dans la société new-yorkaise, la jeune femme pense sérieusement à prendre le nom de famille de sa mère défunte à sa naissance, duchannes. si aujourd'hui, on l'appelle jules hastings, la jeune femme s'appelle en réalité juliette constance cerseï aspen katerina (duchannes) hastings. AGE › elle a atteint la majorité il y a de ça un mois, la voici a vingt-et-un an, un âge qu'elle aurait préféré fuir. DATE ET LIEU DE NAISSANCE › qu'on se le dise, jules n'aime pas son anniversaire, qui est le dix-huit mai, elle ne veut pas vieillir et le jour de son anniversaire lui prouve que la vie est trop courte et que sa mère est morte ce jour-là. elle est née le dix-huit mai mille neuf cent quatre vingt douze, au massachusetts general hospital, à boston (massachusetts, usa) trois mois avant le terme de la grossesse. NATIONALITÉ › « ses ancêtres ont posés pieds sur le sol américain à sa découverte, ils n'ont alors cessé de voyager dans le monde » c'est ce que son père ne cesse de lui répondre, quand elle cherche à savoir d'où elle vient réellement, parce qu'elle ne connait pas vraiment ses origines véritables n'ayant pas la moindre infos sur sa mère et ne ressemblant en rien à son père, certains lui ont mit dans la tête qu'elle avait été adoptée, ce qui est faux. (en réalité, elle n'est pas la fille de son "père" mais celle de son parrain). ÉTAT CIVIL › célibataire, dadd'ys little girl + elle est brisée sentimentalement, l'amour n'est sans doute pas fait pour, si sa virginité est toujours intacte et qu'elle n'est encore jamais sortit avec un garçon, la jeune femme a vu mainte fois son coeur se brisé. PROFESSION/ÉTUDES › diplômée depuis ses quinze ans (étant une surdouée) ; juliette a passé trois ans à voyager dans le monde dans des aides humanitaires pour occuper son temps et ne pas rester chez elle à ne rien faire ; à dix-huit ans, elle entre à harvard jusqu'à ses vingt ans pour venir vivre à brooklyn, toujours en étant étudiante à harvard seulement par correspondance. + aujourd'hui elle est serveuse dans un bar (coyote girl certains soirs). AVATAR › selena cutie gomez.
# street lights, big dreams, all looking pretty. Depuis quand vivez-vous à Brooklyn ? depuis peu de temps à vrai dire, peut-être cinq ou six mois. elle ne s'en rappelle pas. Pourquoi avoir choisi d'emménager ici ? prendre son indépendance, sortir des shorts de son père, se faire sa propre vie et se chercher elle-même. Quelle est votre opinion sur cet arrondissement ? c'est une ville, avec son lot de problèmes et de résolution. Que pensez-vous de la ville de New-York, plus généralement ? une ville de rêve, elle aime traîner tard dans la ville, même si ce n'est pas sûr. Quel est votre 'american dream' ? est-ce qu'on peut en avoir un alors qu'on y habite ?
# waiting for a ride in the dark. broken angel ou kassandra, vingt ans -je suis vieille- ; la belle c'est selena gomez et jules c'est une chieuse de première, je ne sais absolument pas parler de moi anyway, magnifique forum en tout cas :**:
Dernière édition par Jules Hastings le Mar 25 Juin - 14:01, édité 4 fois
Sujet: Re: welcome to the new age, where's my deamons are. + jules. Mar 18 Juin - 16:28
# life is easier where the walls are red.
because wherever you are, there will always be something to brings me back to you. › juliette hastings est née prématurée de trois mois. elle est apparue en urgence suite à un accident de voiture qui coûta la vie de sa mère (elle n'est pas morte dans la voiture mais après avoir accouchée, d'une hémorragie interne dans un zone de son corps que les médecins pensaient sauver.) alors qu'elle se rendait au mariage d'une de ses amies › de ce fait, juliette n'a pas connue sa mère et n'a pas tellement eut de présence féminine dans sa vie. › elle était un peu garçon manqué dans sa jeunesse, préférant traîner avec les garçons plutôt que les filles. › elle a préféré jouer au foot plutôt que de jouer à la poupée. › elle a toujours été très proche de son père, les soirées pizzas foot c'était son truc. › elle n'a jamais eut de présence féminine dans sa vie, son père se refusait à avoir des relations d'un soir, il aimait trop sa femme pour ça, elle n'a pas non plus connue la présence de sa famille maternelle, il la tenait pour responsable de la mort de leur fille tellement adorée. › elle est toujours vierge, n'est jamais tombée amoureuse et pourtant cela ne l'empêche pas de chauffer le bar trois fois par semaine. › elle partage une colocation avec charlie lane, une catastrophe, c'est la première personne qui la fait autant sortir de ses gonds. › elle adore les animaux et pourrait tous les recueillir si cela ne tenait qu'à elle. › ne parle jamais de son passé, elle ne connait pas ses origines, jeunes on l’appelait la bohémienne. › c'est une bagarreuse dans l'âme, chaque problème, elle les résous souvent par des poings, elle sait encaisser les coups et les rendre. › elle a eut ses premières règles à quatorze ans, depuis elle redoute ces périodes et devient plus insupportable qu'elle ne l'est déjà. › elle a été diplômée à l'âge de quinze ans parce qu'elle est surdouée, peut-être aussi pour ça qu'elle n'arrivait pas à avoir des amis convenables. › elle cherche toujours à repousser ses limites jusqu'à en avoir mal. › n'a jamais sût faire un lit correctement, elle est bordélique et se retrouve toujours dans son bordel. › elle aime danser. › elle dessine comme peyton dans oth. › elle a le même timbre de voix que christina aguilera. › elle a peur de tombée amoureuse. › aime les voitures, la vitesse, le danger, l'adrénaline.
Dernière édition par Jules Hastings le Mar 25 Juin - 14:05, édité 4 fois
Sujet: Re: welcome to the new age, where's my deamons are. + jules. Mar 18 Juin - 16:29
# life is easier where the walls are red.
“ sometimes the most real things in the world are the things we can't see. ” crédit (yogomez) @tumblr.
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elle court, court jusqu'à ne plus sentir ses pieds, court jusqu'à sentir ses poumons se rétracter dans son thorax, elle court jusqu'à se rendre compte que chaque bouffé d'air devient feu en elle. son sac dans sa main droite, elle essaye de lutter contre ce poids qui l'a ralentit de plus en plus. elle est en retard, il ne faut pas qu'elle soit en retard. débouchant sur la rue principale, elle court comme une dingue, zigzaguant parmi ces new-yorkais et touristes, elle bouscule tout le monde, répète sans cesse un excusez-moi. ses cheveux, détachés, volent derrière elle, se soulevant à chaque mouvement, chaque bourrasque de vents qu'elle se prend dans la figure. la jeune femme de vingt-et-un an voit le bout, par chance la porte s'ouvre, un homme baraqué sort et lui laisse le champ libre. un sourire reconnaissant s'affiche sur ses lèvres teintés de rouges, elle lève son bras libre et vient frapper sa main dans celle de l'homme. t'es en retard chérie ! tout se passe vite. je sais ! hurle-t-elle alors qu'elle disparaît dans les couloirs sombre du bar dans lequel elle travaille. elle n'arrête pas sa course, elle sait que chaque secondes compte, mais surtout, surtout elle ne doit pas tomber sur son patron. se dirigeant vers la loge réservée aux serveuses/danseuses, la porte s'ouvre et une tête blonde en ressort, un sourire soulagé s'affiche sur ses lèvres. grouille toi ! on commence dans cinq minutes. murmure-t-elle bien assez fort pour qu'elle l'entende suffisamment. ralentissant sa course, la jeune femme regarde derrière elle, des bruits de pas s'approchent, son cœur ralentit sec, son sang s'arrête de couler dans ses veines. elle sent une main agripper à l'avant-bras, elle reprend ses esprits et pénètre avec fracas dans la salle, tombant par terre, sac étalé par terre. wow, est-ce que ça va ? la blonde s'approche d'elle. une main la stoppe dans son mouvement, jules se redresse doucement, complètement essoufflée. ça va aller. ça va aller. mais elle n'a pas le temps de se reposer, elle est en retard et son patron risque de rentrer dans la loge à tout moment. la blonde tape dans ses mains, remuant tout son être. elle se lève, retire ses affaires sans aucune pudeur pour aller enfiler sa tenue, short en jeans très court et petite chemise qui ne sert pas à grand chose si ce n'est caché à moitié sa poitrine. elle s'accroche rapidement les cheveux, elle est déjà maquillée, elle chausse ses chaussures ... tout ça en moins de trois minutes top chrono, alors que les filles s'affairent à l'aider, la poignée de la porte grince, elle saute sur sa chaise, se cognant le genoux au pied de la table. elle grogne mais prend sa pause habituelle. le patron entre, renifle et fait un signe de tête avant de refermer la porte derrière lui. elles se regardent. le temps passe comme si ce fut une éternité. jules souffle, son palpitant reprend sa course. une main posée sur sa poitrine, la jeune femme se lève et suit ses collègues. elle sait d'avance que la nuit va être longue. elle referme la porte derrière elle, un dernier regard sur son lieu de travail. jamais elle n'aurait pensé terminé là, elle petite fille de quinze ans qui a son diplôme, celle qui est partit en aide humanitaire. là voilà, à vingt-et-un an, travaillant dans ce bar en tant que coyote girl dans la ville de new-york, trois misérables nuits par semaines -bon, le bon côté des choses c'est que c'est trois soirs qui l'empêchent de voir l'autre dans son appartement. jules, sors de tes pensées, tu vas te prendre un mur dans la gueule. elle relève la tête et tire la langue à la rousse. arrivant près du bar, elle entend les cris fusaient. elle orne son plus beau sourire, aguicheur à souhait et monte sur le bar à l'aide des deux barmans. se positionnant au milieu, la jeune femme écarte légèrement les jambes, une mains sur sa hanche, l'autre en porte voix, elle est prête, elles sont prêtes. un son rauque et envoûtant sort de sa voix, elle chante et elle se perd dans les cris des clients.
elle se sent s'écrouler sur la tabouret, posant ses bras sur le rebord du bar, là où c'est moins collant, la jeune femme pose sa tête dans le triangle. elle soupire, elle est claquée, il est bientôt une heure du matin, elle n'a qu'une envie, dormir. elle soupire, ses jambes sont endolories, même si elle a l'habitude maintenant, son manque de sommeil joue beaucoup, elle ne dort presque plus, toujours prise par de plus en plus de cauchemars, à propos de sa mère. elle sent sa gorge se serrée. elle pince les lèvres et se redresse douloureusement, un des barmans vient à elle avec un verre d'eau, il sait qu'elle ne supporte pas l'alcool et qu'elle ne boit pas, elle le prend avec plaisir et se l'enfile d'une traite. toujours ses cauchemars ? elle pose son coude, grave erreur, l'emplacement est collant. elle grimace. sa tête repose sur le dos de sa main. ouais. son visage est triste, triste pour elle, il essuie les verres, les reposes. elle dépose le sien délicatement sur le bar, le traînant jusqu'à lui. tu sais, une jeune femme comme toi ne devrais pas être ici. elle le regarde, son regard est vide. je suis sûre que ta mère n'aurait ... commence-t-il, elle le coupe. ne parle pas en son nom, tu ne la connaissais pas. et moi non plus. il baisse la tête, elle sait que ce n'était pas méchant. désolée. je ... merci. lâche-t-elle en se levant pour aller se changer et prendre ses affaires. tout ce qu'elle avait besoin c'était de dormir, de dormir dans sommeil sans rêves.
Dernière édition par Jules Hastings le Mar 25 Juin - 14:04, édité 6 fois
Daphne Ioannidis she smells of daisies, she drives me crazy.
Messages : 508 Date d'inscription : 04/05/2013 Pseudo : Mariko. Crédits : avatar : herjuliwiii (♡) ~ sign : berenicebejo (tumblr) ~ quote : woodkid, i love you.
BROOKLYN BRIDGE Occupation: A la recherche d'un emploi. To-Do-List:
Sujet: Re: welcome to the new age, where's my deamons are. + jules. Mar 18 Juin - 16:30
Bienvenue Bonne continuation pour ta fiche, et si tu as une question n'hésite pas! :)