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 buddy bye.

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MessageSujet: buddy bye.   buddy bye. EmptyMer 19 Juin - 3:37


(c) oaristys.

Lester Valentyne

Concentrate on what you want to say to yourself and your friends. Follow your inner moonlight; don't hide the madness. You say what you want to say when you don't care who's listening. ― Allen Ginsberg.

AGE
Vingt-six ans (dans deux jours).
DATE ET LIEU DE NAISSANCE ›
21 juin 1887, Manhattan, Greenwich Village (comme dans les livres).
NATIONALITÉ ›
américaine, origines serbes et françaises.
ÉTAT CIVIL ›
à voir, mais je finirai sûrement seul comme un gros con (cf cause à effet).
PROFESSION ›
éducateur spécialisé (non mesdemoiselles, ça n'est pas "génial", et ça ne veut pas non plus dire que je rêve d'être père de famille nombreuse).

#street lights, big dreams, all looking pretty.



Depuis quand vivez-vous à Brooklyn ?
Concrètement, depuis que mon lieu de travail s'y trouve. Mais tu sais, quand tu vis à Manhattan, tu connais Brooklyn, il n'y a qu'un pont qui nous sépare. Et quelques dollars, d'accord (...).
Pourquoi avoir choisi d'emménager ici ?
Parce que ça sent les fleurs et qu'il y a de jolies filles. (...)
Quelle est votre opinion sur cet arrondissement ?
Les gens y sont plus vrais qu'à Manhattan, parce qu'ils ont plus d'emmerdes. Ça gueule plus à Brooklyn, ça galère mieux, et il y a moins de différences entre les divers quartiers que dans Manhattan. Same shit, mais aussi plus de convivialité - et quand elle arrive à naitre, elle dure. C'est moins blingbling, moins hipster et moins bio, et ça ressemble plus l'Amérique, la vraie, qu'à celle des séries et des magazines.
Que pensez-vous de la ville de New-York, plus généralement ?
Quand j'étais gamin, New York, c'était une ville immense avec une grande histoire et beaucoup de petits points noirs. Trafics, dangers, on nous interdisait de sortir jouer le soir dans les rues, c'était l'Amérique des films, pas Gotham City mais presque, tu vois ? Grease version fin des années quatre-vingt, mais il restait encore quelques morceaux accrochés aux murs. Et puis Giuliani est arrivé, a foutu dehors tous les pauvres, a fermé Manhattan aux nécessiteux et l'image d'un New York doré a commencé à circuler. C'était pas qu'une image, d'ailleurs : maintenant, tu peux te balader à poil dans Manhattan sans que personne ne vienne t'emmerder. C'est le paradis des riches et des touristes. Même Harlem commence à être envahi par les néo-bourgeois. La carte de NY est de plus en plus stricte et sectaire, économiquement et socialement parlant, c'est dommage. On sait de moins en moins vivre ensemble (tous ensemble), en acceptant le meilleur comme le pire et en se foutant tous sur la gueule parce que c'est inévitable. On vit dans l'idéal du risque zéro (qui ne veut rien dire), ça nous oblige à nous tourner le dos les uns aux autres pour éviter de se croiser, de se confronter. Malgré tout, New York reste une des plus belles villes du monde, pour moi, avec un brassage unique de population et un multiculturalisme vraiment, vraiment vivant. Ça n'est pas le cas de toutes les villes, notamment Paris.  
Quel est votre 'american dream' ?
Du champ, du brut, des vamps, des putes. (...)
#life is easier where the walls are red.

x Fils de bonne famille, il a passé son diplôme d'éducateur en France, à Paris, parce que le social working aux USA, c'est quand même une bonne blague. Son stage intensif s'est déroulé à Sevran, dans le 93, on peut donc affirmer sans risques qu'il connait la banlieue française. x Lester est à première vue un mec bien sous tous rapports. Éducateur passionné par son travail et réellement actif, engagé, apprécié, drôle, organisé, capable de tenir de nombreuses conversations, sociable, plutôt généreux, il n'y a que lorsqu'on soulève la première couche qu'on peut s'apercevoir que finalement, Lester Valentyne ne gagne pas tant que ça à être connu : sa vie sentimentale est une vaste plaisanterie, il se comporte encore comme s'il avait dix-neuf ans. Croyez-le ou non, il en est conscient. x En fan de Star Wars qui se respecte, son chien s'appelle Jabba. Il s'agit ni plus ni moins d'un énorme rottweiller qui fait peur à tous les mômes, à toutes les femmes voire même à tous les hommes qui passent sous sa truffe noire. C'est pourtant le plus affectueux des molosses, et il suivrait son maitre n'importe où, n'importe quand. x Sportif de nature, Lester fut longtemps skateur sans frontière, avant de laisser la planche derrière lui pour la boxe, l'escalade, le kayak (si). Son rêve ? Traverser l'antarctique. x Sa tronche de beau gosse en plastique lui offre des tonnes d'avantages, et lui rapporte aussi des kilos d'emmerdes. Entre autres, se faire envisager par les mères cinquantenaires des gamins dont il s'occupe (joie), ou encore menacer de pétage de gueule par les grands frères des petites sœurs, persuadés qu'il en veut à leur chasteté quand il les emmène au cinéma et puis bouffer une glace. x Parmi tous les gamins qu'il est chaque jour amené à fréquenter, il en est un qu'il adore et dont il s'occupe sans revenu en contrepartie. Mickey, le petit blond sensationnel qui sourit dès qu'il l'aperçoit, et dont la tutrice et tatie se révèle être une blonde non moins sensationnelle. x La Psychanalyse des contes de fées de Bettelheim l'a traumatisé. Ne jamais lui en parler. Cela dit, mieux vaut éviter avec lui le sujet psychanalyse ; un domaine qu'il méprise cordialement et auquel il préfère de très loin la psychiatrie. x Il adore les gosses - normal, il en est un lui-même - s'entend mieux avec eux qu'avec la plupart des personnes de son âge, mais il ne le dira jamais à une femme, parce qu'il connait parfaitement le potentiel séduction d'une telle révélation (et le taux d'embrouilles que ça amène en général avec la saison des amours (et de l'ovulation)). x A vingt-six ans, il peut encore délirer sur des blagues à base de caca, et il n'est pas dit qu'il reste impassible devant le mot prout. x L'écran de son iphone est explosé. C'est une bonne excuse à vous donner quand vous lui demandez pourquoi il n'a pas répondu à votre sms. x Il se range dans la catégorie des provocateurs soft. Ni tête à claques ni politiquement correct, il titille la susceptibilité des personnes que le manque ou le trop plein de self estime rend désagréables et faciles à emmerder. Il a toujours détesté le fayotage, et s'il y a une époque historique dans laquelle il n'aurait pas aimé vivre, c'est bien le régime de Vichy et la collaboration française. x Lester est connu pour être direct. Parfois trop. Notamment avec les femmes. On aurait pu croire que son séjour en France l'aurait initié à la galanterie, mais que nenni. Dire à une femme qu'elle est définitivement trop conne pour qu'ils poursuivent la conversation n'a jamais été un problème.

« Tu pourrais éventuellement me laisser le temps de me rhabi... »
Elle lui balance ses fringues à la gueule et le pousse vers la sortie, le laisse en caleçon sur le palier, lui jette un regard plus noir que noir (genre ultra-ténèbres). Il soupire. « Alice, c'est pas si grave, pendant l'amour j'ai tendance à confondre les prénoms et... » Elle lève un index tremblant de colère. « Moi c'est Amanda, ducon, Amanda. » Ses yeux s'écarquillent. Bon, il a merdé, d'accord. « C'est quand même moins sexy qu'Alice, tu devrais peut-être me remercier de t'imaginer plus bonne que tu ne... » Elle lui en colle une. Ça claque et résonne dans le couloir. Il l'a méritée ou...? « Tu sais Lester, avoir une belle gueule, c'est un bon point dans la vie, je te l'accorde. Mais s'acharner chaque jour de son existence minable à prouver qu'on est un connard de première classe, c'est pas un bon plan. » Elle lui claque la porte au nez. Les femmes de cette ville ont un gros problème. Elles se laissent embarquer plus facilement que toutes les autres, mais exigent en contrepartie que vous soyez amoureux d'elles sur l'oreiller, et que vous deviniez dans leurs yeux leur carte d'identité. Il soupire en enfilant son jean, puis son t-shirt. Même pas une putain de douche, c'est quand même dingue, ce manque de savoir-vivre. D'accord, il l'a appelée Alice pendant deux heures, mais elle aurait peut-être pu lui signaler l'erreur avant de jouir, non ? Pourquoi tant de haine. Il lui reste donc plus d’une heure avant la sortie au ciné avec le groupe que Fred doit lui lâcher sur les coups de quinze heures trente. Les mains dans les poches, il descend jusqu’à l’avenue et se pose en terrasse, commande une lager ambrée et sort son Murakami en enfilant d’un geste ses lunettes de soleil. Il entend Fred arriver avant même de lever la tête pour le voir : les gamins font un bordel pas possible, et la voix de Fred tente de couvrir le tumulte sans y parvenir pour autant, comme d’hab. Lester se lève avec un sourire, se dirige vers eux sans leur laisser le temps de se jeter sur lui et de commander à voix haute tous les cocktails qui leur viendront à l’esprit. Fred s’essuie le front d’un revers de manche. « Là, ils sont déchainés. Steven a essayé de violer un pigeon – j’ai pas compris, et Naomi a évidemment pissé dans sa culotte. On a dû passer une heure au McDo pour changer ça. » Pendant qu’il parle, Frank se barre en courant et Lester le rattrape par le col de son t-shirt pour le tirer vers lui. « Tu nous quittes avant le film ? » Frank se ravise, et Fred se casse, visiblement mort. Avec toute sa tripotée de gamins, Lester attire des regards surpris. C’est quoi ça, un organisateur d’anniversaire ? Un mono de colonie de vacances ? Un grand frère surréaliste, un père suicidaire ? Les six mômes entrent comme des fusées dans le cinéma relativement bondé, et Lester affirme d’une voix sonore que les popcorns, c’est seulement pour ceux qui arrivent en premier sur le canapé rouge, là-bas, près de la première porte. Ils s’y précipitent pendant qu’il achète des quantités raisonnables de maïs sucré, une grande bouteille d’eau, et revient vers eux. Évidemment, Frank est debout, puisqu’il n’a pas été assez rapide pour choper une place (la faute à son poids) et que les autres se sont fait un plaisir de l’en priver. Naomi le pointe du doigt. « Il est pas assis, il aura pas de popcorn hein ? » Lester secoue la tête, navré. « Même pas un seul. » Frank fait la gueule, Lester se penche sur Laura pendant qu’elle grimpe les marches qui mènent aux sièges du haut. « Tu lui en donneras un peu des tiens ou pas ? » Laura croise son regard, crispe ses petites mains autour de son pack, hésite, pose les yeux sur Frank, à la traine, et acquiesce. Lester sourit et lui caresse le haut de la tête. « Généreuse. »

Lester s’écroule dans le canapé du salon, les mains contre la nuque, yeux fermés. Epuisé, c’est le mot. Jenna l’observe par-dessus son magazine d’architecture, passe une main dans ses cheveux et se lève pour le rejoindre, se glisse entre ses jambes et embrasse son front, son nez, sa bouche, plonge son regard dans le sien et fait ronronner sa voix douce et toujours mystérieusement amusée. « Tu m’as trompée aujourd’hui ? » Elle ne demande qu’à demi voix, sensuelle. Lester sonde son regard quelques secondes, darde ses prunelles sur les siennes. « Oui », souffle-t-il. Jenna hausse un sourcil, Lester sourit. « Elle était nulle. » Jenna lui offre en retour un sourire ironique et se recule, il la rattrape par la taille pour l’empêcher de s’éloigner. « Et toi ? » Elle le fait patienter, danse entre ses mains sans le quitter des yeux, puis finit par détourner le regard, une moue contrariée peinte sur son joli visage. « Non. Mais je me rattraperai ce week-end », ajoute-t-elle, malicieuse. Elle s’évade de ses bras, retourne s’assoir en face de lui en posant les pieds sur la table basse. Ils s’observent un moment dans un silence qu’ils ne comprennent que trop bien tous les deux. Lester sort son portable et compose un sms. La voix de Jenna résonne de nouveau après un instant. « Qui donc ? » Lester lui répond sans lever les yeux de sa tâche. « Jane. » « Celle qui a le petit blond ? » « Exact. » Silence. « C’est le petit qui t’intéresse, ou c’est elle ? » Lester termine son message, envoie et lâche le téléphone à ses côtés avant de poser sur Jenna un regard rieur, éminemment tendre. « T’as fini oui ? » Il se lève à son tour et se rapproche d’elle, se penche pour déposer un baiser contre sa bouche et la soulève pour la porter jusqu’à la chambre.  
#waiting for a ride in the dark.

J'adore regarder les orages de mon bureau et essayer de calculer les distances d'éclairs. J'ai été appelée par BFM TV d'ailleurs, je suis reconnue spécialiste de calcul de distance d'impacts d'éclairs par la profession. J'ai sauvé plus d'une fois le peuple des Bisounours comme ça, puis c'est moi qui les ai branchés sur la pub Cajoline, l'acteur principal a gagné un max et s'est fait construire un super terrier au Canada. Open miel et bitches dans tous les sens. Ouais, en gros, je vais bien quoi.


Dernière édition par Lester Valentyne le Jeu 20 Juin - 6:29, édité 21 fois
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Jane Blythe

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MessageSujet: Re: buddy bye.   buddy bye. EmptyMer 19 Juin - 7:55

Citation :
(et le taux d'embrouilles que ça amène en général avec la saison des amours (et de l'ovulation))


buddy bye. 3388831913
Ce début de fiche est buddy bye. 826535879. Comme d'habitude, j'adore ton personnage, et Lester et Jane ont tellement de points de commun. I love you Hâte d'en lire plus en tout cas !
Bienvenue officiellement sinon. cat
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MessageSujet: Re: buddy bye.   buddy bye. EmptyMer 19 Juin - 8:19

J'adore le choix de ton avatar et j'aime beaucoup le début de ta présentation. J'ai hâte d'en lire plus en tout cas I love you
Bienvenue parmi nous buddy bye. 826535879
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MessageSujet: Re: buddy bye.   buddy bye. EmptyMer 19 Juin - 9:04

Vous ici, belle enfant ! buddy bye. 4101449332
Lester est trop délirant, j'ai hâte de lire la suite. cat
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MessageSujet: Re: buddy bye.   buddy bye. EmptyMer 19 Juin - 9:40

Bienvenue ici. I love you Très bon début de fiche, j'adore le personnage! J'ai hâte d'en lire plus, bonne chance pour la suite. buddy bye. 597266390
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MessageSujet: Re: buddy bye.   buddy bye. EmptyMer 19 Juin - 18:09

Jane Blythe a écrit:
Lester et Jane ont tellement de points de commun. I love you 
c'est vrai ? ça c'est fait naturellement alors, je n'ai rien calculé buddy bye. 4176164536 buddy bye. 4176164536 contente qu'il te plaise, j'ai hâte de rp avec ces deux-là buddy bye. 2803396931

Laura ? buddy bye. 463640418
en Keahu en plus, il te va définitivement trop bien buddy bye. 3610844305ça fait plaisir de retrouver ta bouille ici, je m'en vais lire ta fiche, tiens I love you

Merci beaucoup Naomi, c'est très gentil, et à toi aussi Mariko, j'espère ne pas vous décevoir par la suite buddy bye. 3766422733
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Jane Blythe

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MessageSujet: Re: buddy bye.   buddy bye. EmptyJeu 20 Juin - 8:09

Cette fiche, cette fiche ! I love you
C'est fou comme Lester peut être un enfoiré au début de ta fiche, être absolument adorable avec les mômes (heureusement que Laura est partageuse, pauvre Frank. buddy bye. 611850950) et puis me faire fondre en évoquant Jane. buddy bye. 1079579213

Sans aucun doute, tu es validé, et j'ai hâte de voir ce que Lester va devenir en RP. buddy bye. 400338231
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MessageSujet: Re: buddy bye.   buddy bye. EmptyJeu 20 Juin - 17:25

I love you I love you
Frank étant obèse, une moindre ration de popcorns lui sera plus que bénéfique, et c'est l'occasion de lui apprendre que dans la vie, on n'a rien sans courir pour être dans les premiers What a FaceArrow

Merci Chloé buddy bye. 4176164536
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MessageSujet: Re: buddy bye.   buddy bye. Empty

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