+ let it go but hurry now (wyatt).

WYATT MILLER
Alright, everything is alright, since you came along. And before you, I had nowhere to run to, nothing to hold on to. I came so close to giving it up.

© CLAFLINS @ TUMBLR.

AGE › Vingt-six ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE › Le 25 novembre à Atlantic city. NATIONALITÉ › Américaine. ÉTAT CIVIL › Célibataire. PROFESSION/ÉTUDES › Vit de petits boulots divers et variés. AVATAR › Jamie Dornan (peut-on me le réserver, s'il vous plait).

# street lights, big dreams, all looking pretty.
Depuis quand vivez-vous à Brooklyn ? Depuis qu'il a 18 ans. Il ne supportait plus ses parents, alors il a pris ses clics et ses claques et a pris le bus pour New York. Pas assez intelligent pour l'université, et surtout aucunement capable de s'assumer financièrement, il loue un petit appartement miteux dans lequel il vit depuis son arrivée, c'est à dire depuis 8 ans. Pourquoi avoir choisi d'emménager ici ? Parce que la vie résidentielle, ça va deux secondes, ensuite on s'en lasse grandement surtout lorsqu'on y a passé son adolescence coincé. Wyatt avait besoin de voir grand, de sortir de son train-train quotidien. C'est à New York qu'il est venu chercher l'excitation permanente dans la ville qui ne dort jamais. Quelle est votre opinion sur cet arrondissement ? Brooklyn est plutôt un quartier hétéroclite, où beaucoup de personnes venant de différents milieux se mêlent. Bien sûr, on ne juge pas un livre par sa couverture, car lui, qui habite dans un petit une pièce miteux, ne parait aucunement en galère. Il prend soin de s'habiller du mieux qu'il peut, il essaie de sauver les apparences. Que pensez-vous de la ville de New-York, plus généralement ? New York, c'est le rêve de tout humain normalement constitué. C'est la grandeur, la décadence, la folie américaine. Même Wyatt, petit américain d'une banlieue américaine, ne rêvait que de New York. Quel est votre 'american dream' ? Sortir de son trou à rats, avoir un appartement décent et surtout lumineux. Se faire un peu d'argent et vivre confortablement.

# waiting for a ride in the dark.
Raphaelle, aka Smooke. Bazz'addicts depuis longtemps, presque 21 ans. Etudiante, Bretagne. Obsédée par les séries.

# life is easier where the walls are red.
« Malo ! Viens là ! » s'écria-til, courant après son amie. Mais quelle folle, celle là. Il faisait moins dix degrés et elle portait à peine un châle sur ses épaules. New York était sous la neige, rien ne pouvait être plus beau en cette douce nuit d'hiver. Cela faisait bien cinq minutes qu'il la pourchassait dans les rues de Brooklyn. Son souffle commençait à manquer sérieusement. Il s'arrêta un instant, les mains sur les genoux, alors qu'il voyait clairement la silhouette de Malone Robb tourner en courant au coin de la rue. Il marmonna quelque chose d’indicible et reprit sa course effréné. « Malo, arrêtes toi, MERDE ! » Il en avait marre. C'était toujours comme ça. Ils sortaient tous les deux dans un bar, buvaient un peu trop, finissaient par s'engueuler, Malo s'enfuyait face aux conflits et il passait sa nuit à lui courir après pour s'excuser. Cette fois-ci, le sujet de dispute avait été (comme souvent) celui d'un mec aux mains un peu trop baladeuses. L’œil au beurre noir qui trônait sur le visage de Wyatt témoignait de la résolution du conflit. D'ailleurs, il lui faisait un mal de chien. Le jeune homme ne trouvait pas vraiment de réponses aux questions de Malone. Pourquoi était-il aussi possessif ? Pourquoi fonçait-il toujours dans le tas, sans vraiment de raisons ?
Wyatt Miller passait sa vie à courir après Malone Robb, pour ainsi dire. Ils s'engueulaient, il la sortait d'une situation délicate, elle se plaignait de sa famille, il la réconfortait. Ils passaient touts leurs temps respectifs ensemble. Pas une journée ne passait sans qu'ils ne se voient. Wyatt la considérait comme sa meilleure amie. Mais bien sûr comme dans chaque histoire, il y avait un mais. Plusieurs fois, ils s'étaient retrouvés face à face, seuls au monde, muets. Une passion dévorante qu'il/elle évitait momentanément en tournant la tête, ou en changeant de conversation. Ils étaient à ça de franchir le pas. Alors qu'il franchissait le coin de la rue, haletant et crachant ses poumons de fumeur, il reconnut Malo, adossé à un mur, une cigarette allumée dans la main. Il s'arrêta à sa hauteur, alluma à son tour une cigarette et soupira, exaspéré de la situation. « Tu me reproches quoi au juste ? De te protéger d'un pervers aux mains dégueulasses ? » Elle leva les yeux au ciel, le mascara dégoulinant sous ses yeux noircis. Elle s'était enfuie comme une voleuse, avant qu'il ne puisse avoir une explication avec elle. Il avait simplement pris le mec à part, et sans vraiment le vouloir - ou plutôt l'inverse, la discussion houleuse avait fini en bagarre masculine. « T'es con. » s'exclama-t-elle, se remémorant la scène. Finalement, il n'avait pas tort, le mec avait un petit sourire dérangeant, même s'il s'avérait extrêmement canon. Un petit rire s'échappa de ses lèvres en même temps que la fumée de la cigarette. « Et toi, t'es chiante. » marmonna-t-il, ne manquant pas de lui communiquer son mécontentement. Il grogna quelques instants, puis soudain, plus rien. Il se pencha vers elle et déposa sa tête sur son épaule. Il tenta de croiser son regard et murmura, petit sourire aux lèvres. « T'sais bien que je serais toujours là pour te protéger des pervers. » Malo sourit à son tour et le repoussa, le montrant du doigt. « Attention alors, car j'en voie un juste en face de moi. » Ne comprenant pas la référence, il se retourna avec vivacité. Elle eut le temps de s'éclipser et lorsqu'il tourna de nouveau la tête, elle courait de nouveau. Son rire résonnait dans les rues de Brooklyn. Il soupira, lâcha sa cigarette et reprit sa course.

BIENVENUUUUUE. Qu'est ce qu'il est beau. Et puis encore merci.

Merciiiiii à toiiiii. I love you

Si tu as des questions, n'hésite pas.

(ET PUIS HURTS )

Oh Raphaëlle, ça fait longtemps que je ne t'avais pas vu !
Bienvenue ici en tout cas, hâte de voir ton personnage qui, je le sais, va déchirer. + let it go but hurry now (wyatt). 1693400900