Daphne Ioannidis she smells of daisies, she drives me crazy.
Messages : 508 Date d'inscription : 04/05/2013 Pseudo : Mariko. Crédits : avatar : herjuliwiii (♡) ~ sign : berenicebejo (tumblr) ~ quote : woodkid, i love you.
BROOKLYN BRIDGE Occupation: A la recherche d'un emploi. To-Do-List:
| Sujet: CONTEXTE # nyc eats its young. Mar 7 Mai - 23:36 | |
| Buying some vintage records in Williamsburg stores Playing paper boats on east river shores Meeting mermaids and lobsters in Coney Island Puking our deep fried Oreos in Astroland Spending our days watching skylines from rooftops On independance day, Manhattan fireworks Life is easier where the walls are red Brooklyn is a place stuck in my headWOODKID - BROOKLYN∞ Brooklyn, New York City. 'Borough' le plus peuplé de la ville, c'est à lui seul l'équivalent de la quatrième plus grande ville du pays avec ses deux millions et demi d'habitants. Une fois traversé le bien connu pont de Brooklyn passant au dessus d'East River, les gratte-ciels tape à l'oeil de Manhattan laissent bien vite place aux brownstones, modestes maisons de briques brunes ou rouges, alignées les unes à côté des autres le long de larges rues arborées. Si Brooklyn est devenu peu à peu un repère pour les artistes, ça n'en reste pas moins un endroit résolument populaire. Plus de cent vingt-cinq nationalités se partagent ce lieu, lui conférant l'atmosphère si particulière qui fait sa réputation. Les aspirations des jeunes couples à la recherche d'espace, des gosses du quartier un peu perdus, des trentenaires solitaires en pleine reconversion et des derniers artistes en vogue s'y côtoient dans une ébullition perpétuelle, donnant à Brooklyn l'énergie qu'on lui connaît. Oubliez toutes ces séries à l'eau de rose qui vous offrent sur un plateau un New-York rêvé fait de luxe et de paillettes, car celui-là n'est réservé qu'à une poignée de chanceux. Ici, c'est la vraie vie. On se tue à la tâche pour pouvoir payer son loyer en fin de mois. On prend tous les jours le métro pour aller travailler à Manhattan, quitte à s'entasser par centaines dans les wagons étroits. On se démène comme on peut en attendant la réalisation de notre propre 'american dream'. Il n'arrivera peut-être jamais, mais on persiste, on s'accroche à ces rêves qui adoucissent le quotidien. On essaye de vivre tout simplement, en redoutant le jour où cette ville bruyante, fourmillante mais résolument vivante aura raison de nos dernières utopies.
"dream big or go home."
ILLUSTRATIONS @FYEAHHBOGIRLS. | |
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